MUSIQUE ENREGISTREE (Classe 2 - Rock et variétés)
Modérateur : Lopez Noël
2.53 DIS Deathcore
DISFEAR : Misanthropic Generation
Disfear est une formation suédoise qui, à l’instar d’Entombed ou d’Impaled Nazarene, pratique un hard rock n’ roll crade à souhait et fortement influencé par le hardcore et le death. Il n’y a a pas à se tromper ici ; guitares accordées trois tons en dessous, son crust parfait (crade et clair à la fois), rythmique marteau-pilon, chant écorché, tous les éléments sont réunis pour faire de « Misanthropic Generation » un album de genre du meilleur goût. Les fans des groupes suscités seront à la fête, et même si le genre est très ciblé, les amateurs de headbanging et pogos sauvages feraient bien de laisser traîner une oreille sur cet objet estampillé « destruction de tympans ». (Marc Poteaux)
Relapse (dis. Relapse) 6554-2
DISFEAR : Misanthropic Generation
Disfear est une formation suédoise qui, à l’instar d’Entombed ou d’Impaled Nazarene, pratique un hard rock n’ roll crade à souhait et fortement influencé par le hardcore et le death. Il n’y a a pas à se tromper ici ; guitares accordées trois tons en dessous, son crust parfait (crade et clair à la fois), rythmique marteau-pilon, chant écorché, tous les éléments sont réunis pour faire de « Misanthropic Generation » un album de genre du meilleur goût. Les fans des groupes suscités seront à la fête, et même si le genre est très ciblé, les amateurs de headbanging et pogos sauvages feraient bien de laisser traîner une oreille sur cet objet estampillé « destruction de tympans ». (Marc Poteaux)
Relapse (dis. Relapse) 6554-2
2.64 DEA Emocore
DEATH BY STEREO : Into The Valley Of Death Encore un groupe d’émo ? Oui, mais. Furieux et racé, empreint d’un je-ne-sais-quoi qui lui donne une couleur inédite, Death By Stereo est une découverte qui va directement se faire une place dans le cercle des formations talentueuses, et dont on attend encore plus. Un émo aux teintes punk, rock et parfois franchement metal, enrichi d’un chant protéiforme (hardcore, punky et un chant clair assez étonnant et déstabilisant mais tout aussi attachant) et de chœurs, forme musicale au croisement entre passé, présent et futur. Catchy et original, ce serait-y pas la recette du succès ? (Marc Poteaux)
Epitaph (dis. Epitaph) 6643-2
DEATH BY STEREO : Into The Valley Of Death Encore un groupe d’émo ? Oui, mais. Furieux et racé, empreint d’un je-ne-sais-quoi qui lui donne une couleur inédite, Death By Stereo est une découverte qui va directement se faire une place dans le cercle des formations talentueuses, et dont on attend encore plus. Un émo aux teintes punk, rock et parfois franchement metal, enrichi d’un chant protéiforme (hardcore, punky et un chant clair assez étonnant et déstabilisant mais tout aussi attachant) et de chœurs, forme musicale au croisement entre passé, présent et futur. Catchy et original, ce serait-y pas la recette du succès ? (Marc Poteaux)
Epitaph (dis. Epitaph) 6643-2
2.53 EXH Death metal
EXHUMED : Anatomy is destiny
Des chutes de studio du « Heartwork » de Carcass ? Ah non, c’est Exhumed, autre groupe US à œuvrer dans le heavy death qui tâche et lacère ! Certes un peu moins esthète et doué que son grand frère, mais on s’y croirait presque. La voix, l’accordage, les structures des titres, les solis, les ponts…Il n’y a que cette voix grave et gutturale qui fasse la différence. Un album assez jouissif pour les fans du genre et de l’époque, qui pompe sans pomper, et laisse un agréable goût de chair brûlée en bouche. Avis aux nostalgiques ! (Marc Poteaux)
Relapse (dis. Relapse) 7665662
EXHUMED : Anatomy is destiny
Des chutes de studio du « Heartwork » de Carcass ? Ah non, c’est Exhumed, autre groupe US à œuvrer dans le heavy death qui tâche et lacère ! Certes un peu moins esthète et doué que son grand frère, mais on s’y croirait presque. La voix, l’accordage, les structures des titres, les solis, les ponts…Il n’y a que cette voix grave et gutturale qui fasse la différence. Un album assez jouissif pour les fans du genre et de l’époque, qui pompe sans pomper, et laisse un agréable goût de chair brûlée en bouche. Avis aux nostalgiques ! (Marc Poteaux)
Relapse (dis. Relapse) 7665662
2.64 FAU Hardcore metal
FAUST AGAIN : Seizing Our Souls
Faust Again est un de ces nombreux groupes qui pratiquent un crossover metal – hardcore avec un certain penchant pour l’extrême. Cavalcades effrénées alternées avec passages plus mid-tempo, voix entre hardcore et death / black, murs de guitares façon bûcheron, riffing intelligent et omniprésent, structures recherchées, paroles sensées, Faust Again n’a pas l’intention de végéter dans le marais des seconds couteaux. Grand bien nous en fasse, car ces polonais ont assez de rage et de richesses pour nous tenir en haleine pendant quelques années. Et si la relève venait du froid ? (Marc Poteaux)
Circulation records (dis. Twilight) CR 12-06
FAUST AGAIN : Seizing Our Souls
Faust Again est un de ces nombreux groupes qui pratiquent un crossover metal – hardcore avec un certain penchant pour l’extrême. Cavalcades effrénées alternées avec passages plus mid-tempo, voix entre hardcore et death / black, murs de guitares façon bûcheron, riffing intelligent et omniprésent, structures recherchées, paroles sensées, Faust Again n’a pas l’intention de végéter dans le marais des seconds couteaux. Grand bien nous en fasse, car ces polonais ont assez de rage et de richesses pour nous tenir en haleine pendant quelques années. Et si la relève venait du froid ? (Marc Poteaux)
Circulation records (dis. Twilight) CR 12-06
2.64 FON Heavycore nouveau
FONY : Circles
Issu de la deuxième vague heavycore, les anglais de Fony ont su faire évoluer le style pour nous proposer une mixture inédite. Même si la base reste heavycore, le quintette y a appliqué des influences un peu plus « triturées du ciboulot » (on pourrait citer System Of A Down, Tool ou d’autres formations hors-normes) et une sensibilité pop – rock. Et ce qui en ressort est très réussi, si bien que l’on pourrait entendre parler souvent de Fony dans les mois qui viennent. Car rares sont les formations à pouvoir conjuguer violence, subtilité et originalité dans ce carcan musical. (Marc Poteaux)
Copro records (dis. M10) COP030
FONY : Circles
Issu de la deuxième vague heavycore, les anglais de Fony ont su faire évoluer le style pour nous proposer une mixture inédite. Même si la base reste heavycore, le quintette y a appliqué des influences un peu plus « triturées du ciboulot » (on pourrait citer System Of A Down, Tool ou d’autres formations hors-normes) et une sensibilité pop – rock. Et ce qui en ressort est très réussi, si bien que l’on pourrait entendre parler souvent de Fony dans les mois qui viennent. Car rares sont les formations à pouvoir conjuguer violence, subtilité et originalité dans ce carcan musical. (Marc Poteaux)
Copro records (dis. M10) COP030
2.64 FUN Emocore
FUNERAL FOR A FRIEND : Four Ways To Scream Your Name Ep
Nouveau venu sur la scène émocore, Funeral For A Friend n’a pas manqué de se faire remarquer à la sortie de son premier mini “Between Order And Model”, déjà encensé par la critique. Ce quatre titres y fait donc suite en perpétuant un émo frais et très digeste qui comblera probablement les fans du genre, et les amateurs de rock musclé aux nuances hardcore. (Marc Poteaux)
Infectious records (dis. ?) Promo cd
FUNERAL FOR A FRIEND : Four Ways To Scream Your Name Ep
Nouveau venu sur la scène émocore, Funeral For A Friend n’a pas manqué de se faire remarquer à la sortie de son premier mini “Between Order And Model”, déjà encensé par la critique. Ce quatre titres y fait donc suite en perpétuant un émo frais et très digeste qui comblera probablement les fans du genre, et les amateurs de rock musclé aux nuances hardcore. (Marc Poteaux)
Infectious records (dis. ?) Promo cd
2.64 GIV Emocore
GIVE UP THE GHOST : We’re Down Till We’re Underground
Ne vous y trompez pas. Les quelques secondes de guitare acoustique au début de ce brûlot ne sont en rien représentatives du reste du disque. Ici, on est furieux et plutôt branché émo / hardcore avec une pointe de punk sauvage à la Chocking Victim. Du tout bon, quoi ? Oui, du très bon même. Pas une seconde de répit, les titres s’enchaînent sans temps mort, et s’il est à déplorer la ridicule durée de la chose (31 minutes), force est de constater qu’on en a quand même pour son argent. Give Up The Ghost est déjà un modèle du genre et signe là une œuvre puissante, intelligente, essentielle. (Marc Poteaux)
Equal Vision (dis. Burning Heart) BHR 183
GIVE UP THE GHOST : We’re Down Till We’re Underground
Ne vous y trompez pas. Les quelques secondes de guitare acoustique au début de ce brûlot ne sont en rien représentatives du reste du disque. Ici, on est furieux et plutôt branché émo / hardcore avec une pointe de punk sauvage à la Chocking Victim. Du tout bon, quoi ? Oui, du très bon même. Pas une seconde de répit, les titres s’enchaînent sans temps mort, et s’il est à déplorer la ridicule durée de la chose (31 minutes), force est de constater qu’on en a quand même pour son argent. Give Up The Ghost est déjà un modèle du genre et signe là une œuvre puissante, intelligente, essentielle. (Marc Poteaux)
Equal Vision (dis. Burning Heart) BHR 183
2.74 HAL Doom indus
HALO : Body Of Light
Etrange, c’est le moins que l’on puisse dire. Et industriel, indubitablement. L’art de Halo (le terme de « musique » semblerait ici quelque peu galvaudé et/ou réducteur) n’est comparable à aucun autre ; une voix malade déclamant des textes quasi-inexistants sur fond de percussions pachydermiques et répétitives, de guitares noise à l’extrême et d’éléments électroniques lancinants…En ressort une ambiance post-apocalyptique réellement oppressante, une sorte de doom indus au paroxysme des deux styles. Pas inintéressant du tout, mais cependant assez tordu pour vous filer mal au crâne certains soirs, un disque hors normes à déconseiller aux insomniaques. (Marc Poteaux)
Relapse (dis. Relapse) RR-6573-2
HALO : Body Of Light
Etrange, c’est le moins que l’on puisse dire. Et industriel, indubitablement. L’art de Halo (le terme de « musique » semblerait ici quelque peu galvaudé et/ou réducteur) n’est comparable à aucun autre ; une voix malade déclamant des textes quasi-inexistants sur fond de percussions pachydermiques et répétitives, de guitares noise à l’extrême et d’éléments électroniques lancinants…En ressort une ambiance post-apocalyptique réellement oppressante, une sorte de doom indus au paroxysme des deux styles. Pas inintéressant du tout, mais cependant assez tordu pour vous filer mal au crâne certains soirs, un disque hors normes à déconseiller aux insomniaques. (Marc Poteaux)
Relapse (dis. Relapse) RR-6573-2
2.64 HON Emocore
HONEYTOAST : Monsoon
« Le futur, entre force et émotion », « la parfaite symbiose entre hardcore, émo et rock ». Ca , c’est de la pub. Mais s’agit-il vraiment du disque que j’ai entre les oreilles ? Honeytoast pratique en effet un mélange heavycore / émorock, mais si c’est ça le futur, je laisse ma place à un autre ! Ok, tout n’est pas à jeter, mais cet album a quand même tendance à rebuter le quidam, et ce dès le premier titre où ledit chanteur nous assassine les tympans. Non, franchement les gars, je veux bien être indulgent, mais là il y a de l’abus ! Débarrassez-vous de vos oripeaux de punk bruitiste ou peaufinez-les afin que ça ressemble à quelque chose, pensez aux cours de chant, et on en reparlera…(Marc Poteaux)
Circulation Records (dis. Twilight) CR 12-08
HONEYTOAST : Monsoon
« Le futur, entre force et émotion », « la parfaite symbiose entre hardcore, émo et rock ». Ca , c’est de la pub. Mais s’agit-il vraiment du disque que j’ai entre les oreilles ? Honeytoast pratique en effet un mélange heavycore / émorock, mais si c’est ça le futur, je laisse ma place à un autre ! Ok, tout n’est pas à jeter, mais cet album a quand même tendance à rebuter le quidam, et ce dès le premier titre où ledit chanteur nous assassine les tympans. Non, franchement les gars, je veux bien être indulgent, mais là il y a de l’abus ! Débarrassez-vous de vos oripeaux de punk bruitiste ou peaufinez-les afin que ça ressemble à quelque chose, pensez aux cours de chant, et on en reparlera…(Marc Poteaux)
Circulation Records (dis. Twilight) CR 12-08
2.64 JOS Heavycore rock
JOSKI : Chorus
Quartette anglais ayant joui de l’appui de Jacoby « Papa Roach » Shaddix, Joski nous présente ici son deuxième ep « Chorus », soit quatre titre oscillant entre heavycore et nu rock, avec juste ce qu’il faut de rage et de mélodie. Un style pas forcément original, mais qui plaira aux fans du mésestimé « Lovehatetragedy » des suscités ricains, ainsi qu’à la génération de métalleux qu’un petit plongeon dans des styles moins « rentre-dedans » n’effraie plus. Une formation à suivre du coin de l’œil. (Marc Poteaux)
Casket Music (dis. Worldwide Distribution) 4711041
JOSKI : Chorus
Quartette anglais ayant joui de l’appui de Jacoby « Papa Roach » Shaddix, Joski nous présente ici son deuxième ep « Chorus », soit quatre titre oscillant entre heavycore et nu rock, avec juste ce qu’il faut de rage et de mélodie. Un style pas forcément original, mais qui plaira aux fans du mésestimé « Lovehatetragedy » des suscités ricains, ainsi qu’à la génération de métalleux qu’un petit plongeon dans des styles moins « rentre-dedans » n’effraie plus. Une formation à suivre du coin de l’œil. (Marc Poteaux)
Casket Music (dis. Worldwide Distribution) 4711041
2.64 LIA Hardcore metal
LIAR & SUNRISE : Decontaminate
Hardcore metal à tous les étages avec ce split qui nous donne à entendre deux groupes straight edge européens d’excellente facture. On commence par les belges de Liars qui réussissent le mélange parfait entre hardcore et metal. Les quatre titres ici présents rassurent sur la santé de la scène belge. Deviate est mort, mais les loups tapis dans l’ombre ne sont pas moins redoutables. Encore un peu plus metal, les polonais de Sunrise se rapprochent plus de la scène thrashcore, en conservant les qualités des deux genres. Voilà deux groupes que l’on aimerait entendre s’exprimer sur un album et que l’on se plairait à redécouvrir sur scène. (Marc Poteaux)
Lifeforce (dis. Overcome) LFR 039
LIAR & SUNRISE : Decontaminate
Hardcore metal à tous les étages avec ce split qui nous donne à entendre deux groupes straight edge européens d’excellente facture. On commence par les belges de Liars qui réussissent le mélange parfait entre hardcore et metal. Les quatre titres ici présents rassurent sur la santé de la scène belge. Deviate est mort, mais les loups tapis dans l’ombre ne sont pas moins redoutables. Encore un peu plus metal, les polonais de Sunrise se rapprochent plus de la scène thrashcore, en conservant les qualités des deux genres. Voilà deux groupes que l’on aimerait entendre s’exprimer sur un album et que l’on se plairait à redécouvrir sur scène. (Marc Poteaux)
Lifeforce (dis. Overcome) LFR 039
2.64 LOI Emocore
LOISIRS : Glamoroso
Noise ? Emo ? Post hardcore ? On ne sait quel qualificatif donner à ce « Glamoroso », premier exercice des poitevins de Loisirs. Un peu de tout en fait, car même si la composante émo est majoritaire, d’autres influences sont décelables…Un peu de Fugazi et de Hüsker Dü ? Un chouilla de At The Drive In ? Quelques idées Sonic Youthiennes ? Rien que des petites touches, des nuances subtiles qui ne viennent ni dénaturer le tableau ni le faire passer pour une copie. « Glamoroso » est un bel album, pêchu, fiévreux, lancinant, furieux, excédé parfois. Un disque rebelle et franc que l’on aimera à faire découvrir à son prochain (à condition qu’il adhère au genre cependant, Loisirs n’est pas de la chair à cœur tendre !). (Marc Poteaux)
Dora Dorovitch (dis. Discograph) DOR013
LOISIRS : Glamoroso
Noise ? Emo ? Post hardcore ? On ne sait quel qualificatif donner à ce « Glamoroso », premier exercice des poitevins de Loisirs. Un peu de tout en fait, car même si la composante émo est majoritaire, d’autres influences sont décelables…Un peu de Fugazi et de Hüsker Dü ? Un chouilla de At The Drive In ? Quelques idées Sonic Youthiennes ? Rien que des petites touches, des nuances subtiles qui ne viennent ni dénaturer le tableau ni le faire passer pour une copie. « Glamoroso » est un bel album, pêchu, fiévreux, lancinant, furieux, excédé parfois. Un disque rebelle et franc que l’on aimera à faire découvrir à son prochain (à condition qu’il adhère au genre cependant, Loisirs n’est pas de la chair à cœur tendre !). (Marc Poteaux)
Dora Dorovitch (dis. Discograph) DOR013
2.53 MIN Heavy thrash dark
MINDFIELD : Be-low
Deuxième album pour les Allemands de Mindfield, qui fêtent pourtant cette année leurs dix ans. Toutes ces années de galère ont permis au groupe de développer un son et une personnalité propres,et d’enrichir leur musique en y intégrant de multiples influences. Mélangez gothic metal, heavy metal, thrash, une touche de hard prog’, et vous aurez une idée de ce qu’est « Be-low ». Une espèce de heavy thrash aux ambiances dark, ne crachant pas sur les soli virtuoses ni sur les ballades touchantes. Au final, c’est un très bon album, dont les chansons s’impriment dans les tympans avec une certaine aisance. Pourvu que le public sorte le groupe du marasme dans lequel il végétait jusque-là, car à l’écoute de ce disque, on s’aperçoit vite que ça vaut vraiment le coup de s’intéresser aux petits groupes d’outre-Rhin. (Marc Poteaux)
Lifeforce (dis. Overcome) LFR038
MINDFIELD : Be-low
Deuxième album pour les Allemands de Mindfield, qui fêtent pourtant cette année leurs dix ans. Toutes ces années de galère ont permis au groupe de développer un son et une personnalité propres,et d’enrichir leur musique en y intégrant de multiples influences. Mélangez gothic metal, heavy metal, thrash, une touche de hard prog’, et vous aurez une idée de ce qu’est « Be-low ». Une espèce de heavy thrash aux ambiances dark, ne crachant pas sur les soli virtuoses ni sur les ballades touchantes. Au final, c’est un très bon album, dont les chansons s’impriment dans les tympans avec une certaine aisance. Pourvu que le public sorte le groupe du marasme dans lequel il végétait jusque-là, car à l’écoute de ce disque, on s’aperçoit vite que ça vaut vraiment le coup de s’intéresser aux petits groupes d’outre-Rhin. (Marc Poteaux)
Lifeforce (dis. Overcome) LFR038
2.64 NIN Thrashcore
NINE : Killing Angels
Produit par Daniel Bergstrand, qui commence à avoir une certaine assise dans le domaine du « gros son qui tâche » (Meshuggah, Strapping Young Lad, In Flames…), Nine s’apprête à asséner une claque phénoménale à ses concurrents. Pratiquant un thrashcore percutant et mélodique que l’on pourrait peut-être parfois rapprocher des allemands de Disbelief, la formation est apte à séduire les fans d’Entombed comme ceux de hardcore plus traditionnel ou de hard rock crade. On retrouve d’ailleurs Mr Petrov sur un titre…qui se ressemble s’assemble ? Nine, dont c’est tout de même le cinquième album, a intégré le meilleur de ces influences et a su y insuffler son génie. Ne laissons pas cette perle de thrashcore sombrer dans l’oubli ! (Marc Poteaux)
Burning Heart (dis.Burning Heart) BHR 168
NINE : Killing Angels
Produit par Daniel Bergstrand, qui commence à avoir une certaine assise dans le domaine du « gros son qui tâche » (Meshuggah, Strapping Young Lad, In Flames…), Nine s’apprête à asséner une claque phénoménale à ses concurrents. Pratiquant un thrashcore percutant et mélodique que l’on pourrait peut-être parfois rapprocher des allemands de Disbelief, la formation est apte à séduire les fans d’Entombed comme ceux de hardcore plus traditionnel ou de hard rock crade. On retrouve d’ailleurs Mr Petrov sur un titre…qui se ressemble s’assemble ? Nine, dont c’est tout de même le cinquième album, a intégré le meilleur de ces influences et a su y insuffler son génie. Ne laissons pas cette perle de thrashcore sombrer dans l’oubli ! (Marc Poteaux)
Burning Heart (dis.Burning Heart) BHR 168
2.53 ORP Heavy thrash oriental
ORPHANED LAND : Mabool
Cela faisait huit ans que l’on était sans nouvelles d’Orphaned Land, et donc en droit de penser que la formation israélienne qui nous avait fait vibrer en 1994 avec le death/doom de « Sahara » avait jeté l’éponge. Car depuis « El Norra Halila » en 1996, plus aucune info n’avait filtré. Alors quand on nous annonce un retour gagnant, on ne sait si l’on doit se réjouir ou se préparer à une amère déception. Et après l’écoute de ce nouvel opus (dont le nom chez nous n’évoque sûrement pas la même chose que pour ses auteurs), la seule chose que l’on puisse dire c’est : « Ok, les gars, reprenez huit ans de réflexion…Mais revenez-nous avec un album aussi magistral que « Mabool » ! ». C’est dingue (oups), ces types ont synthétisé le propos de leurs deux productions, ajouté une dose de modernisme, et pondu un chef d’œuvre. Même si deux ou trois titres sont peut-être un peu trop « innocents » par rapport à l’ensemble (idem pour les interludes « champêtres »), il faut reconnaître que sur la grande majorité du disque, c’est tellement beau que ça donne le tournis. La voix, les mélodies vocales, les parties de guitare acoustique, les riffs, chorus et soli, la cohabitation orient / occident, tout est superbe. Chapeau bas, messieurs. (Marc Poteaux)
Century Media (dis. M10) 77452-0
ORPHANED LAND : Mabool
Cela faisait huit ans que l’on était sans nouvelles d’Orphaned Land, et donc en droit de penser que la formation israélienne qui nous avait fait vibrer en 1994 avec le death/doom de « Sahara » avait jeté l’éponge. Car depuis « El Norra Halila » en 1996, plus aucune info n’avait filtré. Alors quand on nous annonce un retour gagnant, on ne sait si l’on doit se réjouir ou se préparer à une amère déception. Et après l’écoute de ce nouvel opus (dont le nom chez nous n’évoque sûrement pas la même chose que pour ses auteurs), la seule chose que l’on puisse dire c’est : « Ok, les gars, reprenez huit ans de réflexion…Mais revenez-nous avec un album aussi magistral que « Mabool » ! ». C’est dingue (oups), ces types ont synthétisé le propos de leurs deux productions, ajouté une dose de modernisme, et pondu un chef d’œuvre. Même si deux ou trois titres sont peut-être un peu trop « innocents » par rapport à l’ensemble (idem pour les interludes « champêtres »), il faut reconnaître que sur la grande majorité du disque, c’est tellement beau que ça donne le tournis. La voix, les mélodies vocales, les parties de guitare acoustique, les riffs, chorus et soli, la cohabitation orient / occident, tout est superbe. Chapeau bas, messieurs. (Marc Poteaux)
Century Media (dis. M10) 77452-0