3. BRA 12.41 BRAHMS, Johann : Sonate d-moll op. 108 für Klavier und Violin op. 108. Bernd Wiechert (Herausgeber)
La Sonate pour violon en ré mineur op. 108, terminée en 1888 après plusieurs années de travail, est la dernière contribution de Brahms à ce genre musical. Contrairement aux deux Sonates en Sol majeur et en La majeur, de caractère chantant et joyeux, cette troisième Sonate pour violon et piano se présente comme étant la seule composée dans une tonalité mineure, de dimensions importantes avec ses quatre mouvements, et fortement chargée de tension dramatique. G. Henle verlag (dis. G. Henle). HN1570. 19 euros.
3. STR 27 STRAUSS, Richard : Ein Heldenleben op. 40 TrV 190.
Une vie de héros (Ein Heldenleben), op. 40, est un poème symphonique composé par Richard Strauss (1864-1949) entre 1897-1898, et achevé à Berlin-Charlottenburg le 27 décembre 1898. Composé trois ans après Ainsi parlait Zarathoustra, Ein Heldenleben inaugure une nouvelle série de pièces symphoniques qui ne sont plus basées sur un prétexte littéraire (suivra quatre ans plus tard Une Symphonie alpestre). Partition d'orchestre. Breitkopf & Härtel (dis. Breitkopf). PB5711. 167 euros.
3. HAY 43 HAYDN, Joseph : Missa Cellensis Hob. XXII:8 "Mass for Mariazell". Klavierauszug. Herausgegeben Andreas Friesenhagen.
La Missa Cellensis in honorem Beatissimae Virginis Mariae en ut majeur par Joseph Haydn, Hob. XXII:5, Novello 3[1], a été initialement composée en 1766, après la promotion de Haydn comme maître de chapelle au Palais Esterházy à la suite de la mort de Gregor Joseph Werner. Le titre original tel qu'il apparaît sur le seul fragment restant de la partition autographe de Haydn, qui a été découvert dans les années 1970 à Budapest[3], assigne clairement la messe au pèlerinage de Mariazell en Styrie. Jusqu'à cette découverte, le travail était auparavant connu comme Missa Sanctae Caeciliae, ou en allemand Cäcilienmesse, titre probablement attribué à la messe au cours du XIXe siècle. Bärenreiter verlag (dis. Bärenreiter). BA11320-90. 24,95 euros.
3. DVO 45 DVORAK, Anton : Requiem, op. 89.
En 1890 Antonín Dvořák est au début de son apogée créatrice. Il a déjà une certaine expérience de la musique religieuse avec son Stabat Mater, écrit 14 ans plus tôt, une messe écrite trois ans plus tôt, ainsi qu'un oratorio, achevé quatre ans plus tôt. Il termine la composition de son requiem en neuf mois[1]. Il ne s'agit ni d'une œuvre de commande, ni d'une composition de circonstance. Son écriture reste ainsi très personnelle, reflétant l'âme du musicien. Carus verlag (dis. multiple). CV2732300. 133 euros.