2.23 MOT Powerpop punk
MOTION CITY SOUNDTRACK : My Dinosaur Life
Parti de chez Epitaph pour atterir chez Columbia, Motion City Soundtrack était presque obligé de réaliser un succès commercial avec ce nouvel album. Entre powerpop et pop punk, les ricains ont toujours eu un certain goût pour les titres immédiats, ceux qui restent en tête toute la journée. Pas étonnant donc de constater que ce « My Dinosaur Life » (clin d'oeil au « Dinosaur Sounds » de Catch 22 ?) est un très bon disque. Rien de bien original là-dedand, juste des mélodies parfaitement pensées, des rythmiques carrées et bien agencées, des lignes de chant parfaites, pour un rock enjoué et énergique, rebelle mais pas trop, radio-friendly sans avoir l'air d'y toucher. Ce n'est pas une accusation de prostitution musicale, juste un constat ; Motion City Soundtrack a planté la petite graine du succès il y a 13 ans, et est aujourd'hui prêt à récolter. (Marc Poteaux)
Columbia (dis. Sony) 97190742
Chroniques de mai 2010
Modérateur : Lopez Noël
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2.23 NAD Pop rock
NADA SURF : Il I Had A Hi-Fi
Nada Surf est ce genre de groupe gentil, honnête et travailleur, qui passe relativement inaperçu tout au long de sa carrière, souvent éclipsée par un single marquant. D'autres exemples existent ; Turin Brakes, Starsailor, The Breeders... Et le pire, c'est que ce genre de groupe se contente fort bien de son sort, ne rechignant d'ailleurs jamais à montrer sa gratitude envers ses fans, ou ses sources d'inspiration. C'est par le biais d'un disque de reprises que les américains ont décidé de nous présenter les artistes qui ont nourri ou nourrissent leur passion pour la musique. Depeche Mode, Kate Bush, les Go-Betweens, Spoon, les Moody Blues, Coralie Clément pour les plus connus, Bill Fox, Arthur Russel, Dwight Twilley, Soft Pack, Mercromina et The Silly Pillows pour les curiosités. L'ensemble se tient, le groupe essayant toujours de jouer les reprises à sa sauce, les rendant parfois méconnaissables. Après, ça reste un disque de reprises ; sympa, mais pas essentiel. Pour les fans, et les fans de reprises originales. (Marc Poteaux)
Rykodisc (dis. Naïve) RC692992
NADA SURF : Il I Had A Hi-Fi
Nada Surf est ce genre de groupe gentil, honnête et travailleur, qui passe relativement inaperçu tout au long de sa carrière, souvent éclipsée par un single marquant. D'autres exemples existent ; Turin Brakes, Starsailor, The Breeders... Et le pire, c'est que ce genre de groupe se contente fort bien de son sort, ne rechignant d'ailleurs jamais à montrer sa gratitude envers ses fans, ou ses sources d'inspiration. C'est par le biais d'un disque de reprises que les américains ont décidé de nous présenter les artistes qui ont nourri ou nourrissent leur passion pour la musique. Depeche Mode, Kate Bush, les Go-Betweens, Spoon, les Moody Blues, Coralie Clément pour les plus connus, Bill Fox, Arthur Russel, Dwight Twilley, Soft Pack, Mercromina et The Silly Pillows pour les curiosités. L'ensemble se tient, le groupe essayant toujours de jouer les reprises à sa sauce, les rendant parfois méconnaissables. Après, ça reste un disque de reprises ; sympa, mais pas essentiel. Pour les fans, et les fans de reprises originales. (Marc Poteaux)
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2.521 ORP Doom metal oriental
ORPHANED LAND : The Never Ending Way Of ORWarriOR
Nombreux l'ignorent, mais Israël est la terre d'accueil d'un des 50 meilleurs groupes de metal de ces dernières années ; Orphaned Land. Six ans après « Mabool », le groupe revient nous abreuver de son metal oriental riche en messages d'espoir et d'appels à la paix. Ce qui ne transparaîtra pas forcément aux yeux des intégristes de tout bord, qui verront certainement la pochette de ce nouvel album comme une intolérable provocation. Côté musical, on retrouve tout ce qu'on aimait sur « Mabool »; des titres longs et épiques, exploitant parfaitement des différents chants (masculin clair, death, féminin, chœurs) et intégrant de la meilleure des façons les instruments et influences traditionnelles. La production et les claviers de Steven Wilson (Porcupine Tree, Opeth) n'y sont peut-être pour rien, mais ce disque sonne beaucoup plus prog' que ces prédécesseurs. On notera aussi un solo de guitare inspiré sur « The Warrior » auquel Matti le guitariste ne nous avait guère habitué. Un changement dans la continuité que les fans apprécieront, et qui invite incontestablement des gens plus ouverts à apprécier la musique subtile et lumineuse du groupe. Superbe. (Marc Poteaux)
Century Media (dis. Pias) 9978232
ORPHANED LAND : The Never Ending Way Of ORWarriOR
Nombreux l'ignorent, mais Israël est la terre d'accueil d'un des 50 meilleurs groupes de metal de ces dernières années ; Orphaned Land. Six ans après « Mabool », le groupe revient nous abreuver de son metal oriental riche en messages d'espoir et d'appels à la paix. Ce qui ne transparaîtra pas forcément aux yeux des intégristes de tout bord, qui verront certainement la pochette de ce nouvel album comme une intolérable provocation. Côté musical, on retrouve tout ce qu'on aimait sur « Mabool »; des titres longs et épiques, exploitant parfaitement des différents chants (masculin clair, death, féminin, chœurs) et intégrant de la meilleure des façons les instruments et influences traditionnelles. La production et les claviers de Steven Wilson (Porcupine Tree, Opeth) n'y sont peut-être pour rien, mais ce disque sonne beaucoup plus prog' que ces prédécesseurs. On notera aussi un solo de guitare inspiré sur « The Warrior » auquel Matti le guitariste ne nous avait guère habitué. Un changement dans la continuité que les fans apprécieront, et qui invite incontestablement des gens plus ouverts à apprécier la musique subtile et lumineuse du groupe. Superbe. (Marc Poteaux)
Century Media (dis. Pias) 9978232
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2.64 PLE Post hardcore
PLEBEIAN GRANDSTAND : How Hate Is Hard To Define
Si Plebeian Grandstand trouve que la haine est difficile à définir, il s'y emploie pourtant avec la plus grande application. Imaginez Buzzov.En et Pig Destroyer copuler au milieu d'un terrain miné ou on aurait lâché un bus d'enfants, vous aurez une idée de la boucherie sonore proposée ici. Hurlements, riffs syncopés ou très lourds, rythmique de bucheron, dissonances, et pas une once de pitié ; voilà le programme. Quelques efforts louables se font toutefois remarquer, comme sur « Easy To Hate / Hard To Define » par exemple, ou un arpège vient identifier ce qu'on peut prendre pour un refrain, ou la lourdeur malsaine de « […] Or Boring ? », qui, malgré son côté « épreuve », permet tout de même aux tympans endoloris de l'auditeur de finir l'écoute de ce premier album des toulousains au calme, ou à peu près. Rien de facile ni de plaisant sur ce premier jet, ce n'est ni ce que recherche le groupe ni d'ailleurs les fans du genre. Une réussite du genre, qui aura certainement du mal à trouver son micro-public sur nos terres, mais tient pourtant la dragée haute aux formations outre-atlantique. (Marc Poteaux)
Basement Apes (dis. Season Of Mist) APES024
PLEBEIAN GRANDSTAND : How Hate Is Hard To Define
Si Plebeian Grandstand trouve que la haine est difficile à définir, il s'y emploie pourtant avec la plus grande application. Imaginez Buzzov.En et Pig Destroyer copuler au milieu d'un terrain miné ou on aurait lâché un bus d'enfants, vous aurez une idée de la boucherie sonore proposée ici. Hurlements, riffs syncopés ou très lourds, rythmique de bucheron, dissonances, et pas une once de pitié ; voilà le programme. Quelques efforts louables se font toutefois remarquer, comme sur « Easy To Hate / Hard To Define » par exemple, ou un arpège vient identifier ce qu'on peut prendre pour un refrain, ou la lourdeur malsaine de « […] Or Boring ? », qui, malgré son côté « épreuve », permet tout de même aux tympans endoloris de l'auditeur de finir l'écoute de ce premier album des toulousains au calme, ou à peu près. Rien de facile ni de plaisant sur ce premier jet, ce n'est ni ce que recherche le groupe ni d'ailleurs les fans du genre. Une réussite du genre, qui aura certainement du mal à trouver son micro-public sur nos terres, mais tient pourtant la dragée haute aux formations outre-atlantique. (Marc Poteaux)
Basement Apes (dis. Season Of Mist) APES024
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2.54 SKIN Ragga metal
SKINDRED : Shark Bites And Dog Fights
On m'a toujours accusé d'avoir des goûts bizarres en matière de musique. Tenez, par exemple ; si je ne crache pas sur un petit reggae en de rares occasions, j'ai horreur du raggamuffin. Pourtant, lorsque « Babylon », premier album de Skindred, groupe qui se qualifie de « ragga metal », est sorti, j'ai été l'un des premiers à me jeter sur la chose, trop curieux de découvrir ce nouveau métissage musical. Et j'ai été conquis. Depuis, je guette chaque sortie du groupe, et n'ai pas encore été déçu. Mais je tiens ici le 3e album du groupe, et j'en ai plutôt entendu du mal. Pourtant, « Stand For Something », le premier titre, fonctionne vraiment bien ; musclée mais catchy, elle met bien en valeur le chant nuancé de Benji. Par la suite, ça se gâte ; « You Can't Stop » est un pot-pourri de tous les anciennes bonnes idées du groupe, mais tombe à plat. « Electric Avenue », est une bouse infâme (désolé pour les fans d'Eddie Grant ; je ne connais pas l'original, mais je suis certain qu'il est meilleur !). « Calling All Stations » est un pur titre de remplissage. « Corrupted » sauve les meubles, mais est un peu trop policé pour convaincre. « Who Are You » est une expérience foirée. « Days Like These » passe assez bien, sans plus. Et « Invincible » clôt pas trop mal un album raté, et trop court de surcroît (8 titres ? C'est une plaisanterie ou de la fainéantise ?). Bref, on sauvera « Stand For Something », et on jette tout le reste. Quelle déception... (Marc Poteaux)
Bieler Bros / XIII Bis (dis. Atlantic) 76000322
SKINDRED : Shark Bites And Dog Fights
On m'a toujours accusé d'avoir des goûts bizarres en matière de musique. Tenez, par exemple ; si je ne crache pas sur un petit reggae en de rares occasions, j'ai horreur du raggamuffin. Pourtant, lorsque « Babylon », premier album de Skindred, groupe qui se qualifie de « ragga metal », est sorti, j'ai été l'un des premiers à me jeter sur la chose, trop curieux de découvrir ce nouveau métissage musical. Et j'ai été conquis. Depuis, je guette chaque sortie du groupe, et n'ai pas encore été déçu. Mais je tiens ici le 3e album du groupe, et j'en ai plutôt entendu du mal. Pourtant, « Stand For Something », le premier titre, fonctionne vraiment bien ; musclée mais catchy, elle met bien en valeur le chant nuancé de Benji. Par la suite, ça se gâte ; « You Can't Stop » est un pot-pourri de tous les anciennes bonnes idées du groupe, mais tombe à plat. « Electric Avenue », est une bouse infâme (désolé pour les fans d'Eddie Grant ; je ne connais pas l'original, mais je suis certain qu'il est meilleur !). « Calling All Stations » est un pur titre de remplissage. « Corrupted » sauve les meubles, mais est un peu trop policé pour convaincre. « Who Are You » est une expérience foirée. « Days Like These » passe assez bien, sans plus. Et « Invincible » clôt pas trop mal un album raté, et trop court de surcroît (8 titres ? C'est une plaisanterie ou de la fainéantise ?). Bref, on sauvera « Stand For Something », et on jette tout le reste. Quelle déception... (Marc Poteaux)
Bieler Bros / XIII Bis (dis. Atlantic) 76000322
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2.13 SLA Rock
SLASH : Eponyme
A l'étroit au sein de Velvet Revolver, Slash nous offre ici un vrai premier album solo. Certes, Snakepit était sa bête, mais il s'agissait d'un groupe. Ici, il se paie le luxe d'appeler à la rescousse quelques amis pour habiller vocalement ses titres : Ozzy, Ian Astbury, Fergie, Chris Cornell, Lemmy... Le résultat, c'est un rock passe-partout, du pur AOR (adult oriented rock) comme l'appellent les américains. Rien de désagréable, du groove, des riffs, des refrains... Mais rien de mémorable non plus. Un peu l'image qu'on se fait du rock de routiers et de bikers du pays de l'oncle Sam, en fait. La question est ; en attendait-on vraiment plus ? (Marc Poteaux)
Roadrunner (dis. Warner) RR 7795-2
SLASH : Eponyme
A l'étroit au sein de Velvet Revolver, Slash nous offre ici un vrai premier album solo. Certes, Snakepit était sa bête, mais il s'agissait d'un groupe. Ici, il se paie le luxe d'appeler à la rescousse quelques amis pour habiller vocalement ses titres : Ozzy, Ian Astbury, Fergie, Chris Cornell, Lemmy... Le résultat, c'est un rock passe-partout, du pur AOR (adult oriented rock) comme l'appellent les américains. Rien de désagréable, du groove, des riffs, des refrains... Mais rien de mémorable non plus. Un peu l'image qu'on se fait du rock de routiers et de bikers du pays de l'oncle Sam, en fait. La question est ; en attendait-on vraiment plus ? (Marc Poteaux)
Roadrunner (dis. Warner) RR 7795-2
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2.5 TAN Metal symphonique
TANKIAN, Serj : Elect The Dead Symphony
Les albums symphoniques, c'est casse-gueule. L'orchestre peut apporter une profondeur et une puissance phénoménales à un titre, et en dénaturer tellement un autre qu'il en perd toute sa saveur. Ici, on est plutôt face à la deuxième situation. Si « Elect The Dead » est un disque exceptionnel de force et d'émotion, celui-ci sonne juste pompeux et prétentieux, ce qui est loin de l'artiste qui en est à l'origine. Et ce ne sont pas les quelques inédits qui y figurent qui nous feront changer d'avis. Serj, ça y est, tu as prouvé que tu n'avais pas besoin de cinquante musiciens autour de toi pour exprimer ton talent. Bon, on arrête de surcharger des morceaux qui n'en ont pas besoin maintenant ? (Marc Poteaux)
Serjical Strike (dis. Reprise) 2498549
TANKIAN, Serj : Elect The Dead Symphony
Les albums symphoniques, c'est casse-gueule. L'orchestre peut apporter une profondeur et une puissance phénoménales à un titre, et en dénaturer tellement un autre qu'il en perd toute sa saveur. Ici, on est plutôt face à la deuxième situation. Si « Elect The Dead » est un disque exceptionnel de force et d'émotion, celui-ci sonne juste pompeux et prétentieux, ce qui est loin de l'artiste qui en est à l'origine. Et ce ne sont pas les quelques inédits qui y figurent qui nous feront changer d'avis. Serj, ça y est, tu as prouvé que tu n'avais pas besoin de cinquante musiciens autour de toi pour exprimer ton talent. Bon, on arrête de surcharger des morceaux qui n'en ont pas besoin maintenant ? (Marc Poteaux)
Serjical Strike (dis. Reprise) 2498549
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2.65 TWO Rock indépendant
TWO DOOR CINEMA CLUB : Tourist History
Dans la famille coqueluche indie, je demande les irlandais de Two Door Cinema Club. Titres courts et accrocheurs, production signée Elliot James (Bloc Party), cela suffit-il à faire du groupe des héros ? Alors oui, des morceaux comme « Come Back Home » ou « What You Know » font mouche immédiatement, et l'ensemble sent bon l'insouciance et le bon esprit. Un bout de Phoenix (« Something Good Can Work » est assez transparente...), de Bloc Party, d'Interpol dernière heure, de Franz Ferdinand... Emballez-moi le tout, sortez les looks « intellos branchouille », et en route vers le succès ! Ça sent un peu le réchauffé par moments, ça manque peut-être d'âme, mais s'en rendra-t-on compte ? Ok, ça passe pour une fois, mais de là à dire qu'on suivra le groupe à la trace... (Marc Poteaux)
Kitsune (dis. Cooperative music) 52730347
TWO DOOR CINEMA CLUB : Tourist History
Dans la famille coqueluche indie, je demande les irlandais de Two Door Cinema Club. Titres courts et accrocheurs, production signée Elliot James (Bloc Party), cela suffit-il à faire du groupe des héros ? Alors oui, des morceaux comme « Come Back Home » ou « What You Know » font mouche immédiatement, et l'ensemble sent bon l'insouciance et le bon esprit. Un bout de Phoenix (« Something Good Can Work » est assez transparente...), de Bloc Party, d'Interpol dernière heure, de Franz Ferdinand... Emballez-moi le tout, sortez les looks « intellos branchouille », et en route vers le succès ! Ça sent un peu le réchauffé par moments, ça manque peut-être d'âme, mais s'en rendra-t-on compte ? Ok, ça passe pour une fois, mais de là à dire qu'on suivra le groupe à la trace... (Marc Poteaux)
Kitsune (dis. Cooperative music) 52730347
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2.55 ZOM Horror metal industriel
ZOMBIE, Rob : Hellbilly Deluxe 2
Fichtre ! C'est qu'on croyait qu'il avait oublié la musique, Monsieur Rob Zombie, à force de taper dans le remake de film de genre ! Et puis, il faut dire que le monsieur avait un peu tendance à la redite, alors on était pas sûr de louper grand chose... « Hellbilly Deluxe 2 » donc. On prend les mêmes et on recommence ? Oui, exactement. Un peu plus rock n'roll, cette suite annoncée se situe dans la droite lignée du volume 1. Quelques titres sortent du lot (« What », « Virgin Witch », « Werewolf Women Of The SS »), les autres se contentent de remplir la « charte Rob Zombie » : riffs gras, univers fantastiques, références sonores aux films de genre, influences heavy metal et stoner... Tout est là. Pourtant, si on arrive à y entrer assez facilement, on en ressort tout aussi aisément. Nous pas que ce soit ennuyeux, c'est juste tellement sans surprise que ça nous passe au travers. (Marc Poteaux)
Roadrunner (dis. Warner) RR7792-2
ZOMBIE, Rob : Hellbilly Deluxe 2
Fichtre ! C'est qu'on croyait qu'il avait oublié la musique, Monsieur Rob Zombie, à force de taper dans le remake de film de genre ! Et puis, il faut dire que le monsieur avait un peu tendance à la redite, alors on était pas sûr de louper grand chose... « Hellbilly Deluxe 2 » donc. On prend les mêmes et on recommence ? Oui, exactement. Un peu plus rock n'roll, cette suite annoncée se situe dans la droite lignée du volume 1. Quelques titres sortent du lot (« What », « Virgin Witch », « Werewolf Women Of The SS »), les autres se contentent de remplir la « charte Rob Zombie » : riffs gras, univers fantastiques, références sonores aux films de genre, influences heavy metal et stoner... Tout est là. Pourtant, si on arrive à y entrer assez facilement, on en ressort tout aussi aisément. Nous pas que ce soit ennuyeux, c'est juste tellement sans surprise que ça nous passe au travers. (Marc Poteaux)
Roadrunner (dis. Warner) RR7792-2
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